Les rencontres des Anges...

Vous savez tous combien j'aime parler... Trop parfois!
Mais quelques fois celà me permet de faire des rencontres interessantes.

Horacio Torquez

Je n'étais pas arrivée en Ascalon depuis bien longtemps, oh bien sur j'avais voyagé jusqu'à l'Arche, de coopérations en coopérations. Libre, sans toit ni émoi ni personne. Parfois je revenais en Ascalon tente de retrouver là ce que fut sa splendeur passée. Un de ces jours ou je m'essayais au commerce j'entend un homme crier à tue tête: " Offre divers objets bleus pour débutants, épées, haches, batons..." Il répétait inlassablement son appel, sans connaître de succés. Naïve par nature je me pretais à croire que l'esprit d'Ascalon vivait encore. Mais une méfiance acquise me persuadait qu'il devait s'agir d'un piège. J'aborde l'étranger...
"KNA :Bonjour, est ce vrai que vous offrez ces objets?
-Bonjour charmante damoiselle, evidemment que je les offres, sinon je ne m'evertuerais pas à crier de la sorte. Vous êtes interessée?
KNA :Vous n'essayez même pas d'en retirer un bénéfice?
-Non bien sur que non. J'aurais tant aimé en arrivant ici qu'on m'accueille comme j'essaie de le faire... *regarde autour de lui * Sans succés!
KNA :Comment vous appelez vous étranger? Je veux graver dans ma mémoire le souvenir du seul homme qui place son honneur et sa vertue au dessus des considérations vénales qui préoccupent la majorité des survivants de la Chute
- Je suis Horacio Torquez mademoiselle, pour vous servir.
KNA :C'est un honneur de faire votre connaissance... Je ne saurais vous retenir d'avantage dans votre tache.
HT : vous ne me retenez pas, je n'interesse personne! Que diriez vous d'une balade? Nous pourrions apprendre à mieux nous connaitre en voyageant de concert..."
Ainsi fut il fait, nous fumes un temps inséparables, rendant divers services aux uns, aux autres. Puis nos chemoin se séparère comme ce genre de chose arrive parfois.
Mais hier qu'elle ne fut pas ma surprise lorsqu'une dame m'abordat, m'appeleant par mon nom.
Vous devez être Kerann Na Asteri me dit elle?
KNA :euh, oui, comment me connaissez vous?
Je suis Katrina Torquez, la femme d'Horacio, il m'a beaucoup parlé de vous..."
J'ai retrouvé son mari plus tard à l'oasis, nous sommes allés au Rocher en compagnie de Sarken une etrange rencontre dont je vous parlerais un jour prochain...

Ah, quelle histoire magnifique Kerann, si seulement je savais raconter les histoires, j'en ferai de même...

Ilhoniel réfléchit une seconde.

J'espère que vous en avez d'autres dans le genre, mais si vous n'en avez point, je m'essaierai bien à vous raconter notre rencontre avec Kazuki, à l'époque ou Altecan et Moi parcourions les chemins de la Kryte....

*Kerann reflechit*
Quelle egoiste je fais, ce chapitre du recueil de la guilde devrait s'appeler "Les rencontres des Anges..."
J'aurais plaisir à entendre d'autres anges parler de leurs rencontres. Ainsi ce chapitre honorerais nos compagnons d'aventure.

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*Une voix résonne dans la tête de la jeune élémentaliste*
<<<<<<<<<Votre souhait a été exsaucé>>>>>>>>>>

J'ai croisé bien du beau monde sur ma route mais si il faut que j'en choisise une je crois que se sera Princese nemesis.Une fort belle necromant qui inspiré le frois a nos enemis...A nos amies aussi car il furent nombreux a tomber sou les dards des araignés de la jungle mais tous je les ais relevé.C'est ainsi que nous allions parmie les morts.Le caractere de nos compagnons se gatait car la mort n'est pas tres agreable.J'avoue que leur mort etait un peu embetant car il gardait cette petit odeur de charogne qui gachait ma joie et ma bonne humeur car pour nous deux l'ambiance etait a la rigolade.
Maitenant elle a disparue et je souhaite de tout mon coeur qu'elle ne soit pas tombée dans les tenbres qu'elle frequenté.Elle me doit encore une pinte de biere

Dans mon intervention précédente je vous avais brièvement parlé de Sarken....
Ah Sarken Shai Krys...
Sarken est le meilleur guide du rocher de l'augure à l'oasis d'Amnoun, en passant par les dunes et le bief d'Elona... Enfin si on se fie à ses propos!
Si la tête de Sarken pouvait être à moitié aussi pleine que ses jambes sont vives nous aurions là le plus grand génie de tout Ascalon.
Mais je devais vous parler de la manière dont Sarken et moi nous etions rencontrés.
J'étais au rocher de l'augure, comme chaque Ange ici bas, je désirais aider mon prochain, un fantome m'avait demandé de partir dans l'inconnu lui retrouver je ne sais trop quoi. Je damande aux aventuriers présents de me venir en aide:
"Qui veut aider une charmante damoiselle à faire un tour dans l'inconnu? En tout bien tout honneur, bien entendu"
J'attend un peu...
"personne ne veut accompagner une pauvre demoiselle en detresse? Je suis seule, et je m'ennuie!"
Inutile de vous dire quel fut mon succès. Les males se pressaient pour m'accompagner au bout du monde si je le desirais. J'en choisis 5 pour m'accompagner, Sarken était du lot.
Nous sommes sortis, nous avons rencontrés des hydres, nous avons peris... tous? Non Sarken continuais de courir!
Il courait comme si le diable était à ses fesses... ce n'était pas le diable mais peu s'en fallait. Les hydres étaient nombreuses. Sarken était tout seul... Mais il courait, si vite qu'il finit par distancer ses poursuivants. Il put arriver à un village d'où il dépécha une scouade pour venir nous porter secour.
Il nous avait sauvé je décidais donc de l'accompagner un peu.
Pour devenir éveillé j'aidais le héro à reprendre possession de son trone dans les dunes, Sarken m'accompagnais. Au bief nous recuperames les cristaux, Sarken m'accompagnait. Je le charriais un peu, il répondait. Lors de notre passage aux dunes nous le suivions tous. Comme souvent il hésitait sur le chemin à prendre... Il faut dire que son sens de l'orientation est presque pire que le mien, ce qui n'est pas peu dire, demandez à Tisania.
Hors pour le charrier un peu Sarken je dis au reste du groupe :
"Argg on est perdus! Mefiez vous de Sarken un jour il a perdu sa main gauche... Elle était au bout de son bras!"
Depuis chaque fois que sarken nous égare je lui parle de sa main gauche, et chaque fois que Sarken me reproche quelque chose il me dit que sa main gauche fais des siennes et qu'elle risque bien de me tomber dessus!

Je crois que ce jeune voyou m'aime bien et c'est reciproque c'est un bon compagnon, avec beaucoup d'humour, qui n'a pas, comme beaucoup, perdu ses bonnes manières après la chute d'Ascalon. C'est un beau parleur, qui sait un jour peut être je le forcerais à rejoindre les Anges.

C'est une très jolie histoire que nous racontes là kerann!

Dit-Ilhoniel après avoir repris son souffle tellement elle riait de l'histoire de la main gauche de ce Sarken...

Encore une autre, Kerann, racontes nous en encore un autre!

*Partage la bonne humeur d'Ilhoniel, au souvenir de cette histoire*
Un jour, je vous raconterais ma rencontre avec Andaras et comment je suis devenue un Ange.

Bientôt je devrais me retirer pour méditer, sur ma vie, les gens et le reste. (déménager -_-)
Je vous avais promis de vous parler de ma rencontre avec Andaras...
Je tiens ma promesse. Le temps passe sur toute chose, dans nos mémoires, il éteint les instants de douleurs et magnifie nos joies. La vie est un ciel sombre, nocturne, constellé de joies, les étoiles. La nuit la moindre lumière prend un éclat insensé. Parfois j'essaie de conter les étoiles dans le ciel, mes instants de joies, je n'arrive jamais à finir mon décompte.
Ma rencontre avec Andaras est un de ces instants, l'une de ces étoiles.

J'étais dans l'une quelquoncque des villes de cette vieille terre, peut être Ascalon, ou l'Arche, je ne m'en souviens plus. Je devais encore une fois tenter de comprendre pourquoi le monde s'agite si vite autour de moi, criant, courant, articulant avec peine des mots difficilement compréhensibles. On mesure mal les conséquences de la chute sur le langage et l'intelligence.
Quand un murmure me tira de ma torpeur. Une voix melancolique, tendrement sensuelle...
"Je vous cherchais..."
J'avais beau tourner mon regard dans tout les sens je ne voyais rien.
"Kerann Na Asteri comme ce nom sonne bien à mon oreille... Venez! Je vous attend"
Je croyais devenir folle et soudain je le vis.
Les épaules voutées le regard un peu flou, sombre mais beau, il semblait porter une peine inconcevable et pourtant une infini tendresse émanait de lui. Je me disais que la chute avait posé sur certains un fardeau trop lourd. Que la perte de nos amis chers, la douleur d'un monde perdu avait pris corps. Et ce corps était devant moi.
Il me parlait...
"Accompagnez moi je connais un endroit de beauté, une parure dont vous deviendrez le joyau!"
Je rougis, j'avais perdu l'habitude des civilités, des attentions. A trop combattre j'en avais oublié d'aimer, de m'aimer. Ma tenue était horrible, mes mains déformées par la dureté des combats, mes ongles sales, mon visage défait. Et cet homme me regardait comme si un ange lui était apparu. Dans ses yeux je me sentais belle. Je décidai de le suivre.
L'ile était magnifique, il me parlait de la guilde, des Anges, de ses espoirs de ses rèves, du pourquoi et du comment de ce lieu de rève. Moi j'y voyais l'impossible, un lieu préservé, un reste de l'ancien monde, magnifique, inchangé. Je me prétais à rever d'une reconstruction, d'un nouveau départ. Nous visitames le hall. Allâmes à la crique échangeant des civilités, nous charmant l'un l'autre, jouant un jeu dont je croyais les règles perdues. Le jeu de la découverte, du charme, de la séduction. Je m'y pretais de bonne grâce.
Au port nous parlâmes des Anges, de la famille Drak, des règles de la guilde. Enfin nous revinmes au Hall des héros. Andaras me demanda de devenir l'un des Anges. De servir et d'aimer, de travailler à la reconstruction...
J'ai hésité... Assez de temps pour le dire et dans un sourire je me suis retournée vers lui, il était assis, il attendait les yeux perdus dans le vide.
"Oui... "
"Je suis d'accord je veux bien devenir un Ange. Vous m'apprendrez à en devenir un."
"Bienvenu jeune Kerann, vous verrez les Anges vont vous adorer, presque autant que moi"
Il me laissa seule dans le hall, je l'avais désiré. Je me retrouvais là dans un lieu si calme, si loin de toute folie. J'avis envie de croire qu'ici je me trouvais chez moi qu'Ashford était debout et que mon frère jouait devant la maison courant après les moas.
Oui, ici je me sentais chez moi.

[ mais heu... :'( magueniphiqueuh ]

Je ne peut rien dire.C'est encore la une jolie histoire que tu nous raconte.
*une larme lui pend a l'oeil mais sa fierté lui dis de faire comme si elle n'existait pas*
De quoi parlera la prochaine?